En 2007, Catherine traverse sans raison apparente son grenier atelier et y retrouve, abandonnés depuis 4 ans, des centaines de rouleaux de taffetas, de fausses fourrures, de lainages et tweeds, de chanvres et lins, des milliers de boutons aux coloris argent, bronze ou doré, des piles de peaux d’antilopes, de rennes et autres crocodiles.
En 5 minutes, elle décide de redonner vie à ce trésor, grâce à ses fidèles amies couturières mongoles qui l’assistent en Aubrac depuis 7 ans.
Elle crée 110 plaids tous différents et uniques qui feront l’objet d’une exposition vente en décembre 2007 au Bristol à Paris au profit du Népal et de la Mongolie.